Le droit d'aller à
l'école pour tous, enfin presque !
Une vie d’enfant sans
école, est-ce possible ? Dans de nombreuses régions du monde, hélas oui .Ne pas aller à l’école, signifie de ne pas savoir lire ni écrire, ne pas pouvoir apprendre un métier, mettre sa vie dans les mains de ceux qui ont ce savoir et vivre dans la pauvreté. Selon Zarina Khan, spécialiste des droits de l’enfant, 90 % des enfants des pays en voie de développement, en Asie, en Afrique, en Amérique latine, commencent leur scolarité et quittent l’école au bout de deux ou trois ans sans avoir eu vraiment le temps d’apprendre.
Pourquoi ?
Pour différentes raisons liées le plus souvent à la pauvreté. Même si l’école est gratuite, il faut cependant acheter quelques crayons, s’habiller et au moins avoir une paire de chaussures…
Dans les pays du tiers-monde, les revenus par familles sont faibles, l’école coûte cher et elle est souvent loin du lieu de vie car les écoles sont rares. Les enfants restent donc dans leur famille pour travailler et l’aider à compléter ses maigres revenus.
Souvent, le père refuse d’envoyer ses enfants et surtout ses fils à l’école car il considère que c’est une perte de temps et d’argent. Une enquête de l’Unesco et de l’Unicef en 2001 montre que l’Asie compte aujourd’hui environ 68% d’analphabètes, l’Afrique en compte 162 millions et l’Amérique latine, 44 millions.
Mais il existe d’autres droits aussi important… Pour pouvoir s’instruire, aller à l’école, penser à l’avenir, il faut que des droits naturels soient respectés.
A commencer par celui de vivre.
Une école pour tous
Tous les enfants à l’école…
Près de 68 millions d’enfants dans le monde (surtout dans le sud) n’ont pas accès à l’école primaire. La pauvreté en est souvent la cause. Les enfants doivent rester à la maison pour aider aux tâches ménagères ou aux champs, et ainsi contribuer aux revenus de la famille. Parfois, il n’y a tout simplement pas d’école dans la région ou l’enseignement y est trop cher. Pourtant, l’éducation reste la meilleure façon de combattre la pauvreté.
Près de 68 millions d’enfants dans le monde (surtout dans le sud) n’ont pas accès à l’école primaire. La pauvreté en est souvent la cause. Les enfants doivent rester à la maison pour aider aux tâches ménagères ou aux champs, et ainsi contribuer aux revenus de la famille. Parfois, il n’y a tout simplement pas d’école dans la région ou l’enseignement y est trop cher. Pourtant, l’éducation reste la meilleure façon de combattre la pauvreté.
Un avenir dans son propre pays…
Un enseignement de qualité aide les enfants à acquérir les compétences nécessaires pour exercer une profession et ainsi participer activement à la vie de la communauté. C’est pourquoi, nous essayons d’assurer l’accès à l’école (maternelle, primaire et secondaire) à tous les enfants des communautés dans lesquelles nous sommes présents. Nous offrons aussi l’opportunité de suivre une formation complémentaire ou des études supérieures.
Un enseignement de qualité aide les enfants à acquérir les compétences nécessaires pour exercer une profession et ainsi participer activement à la vie de la communauté. C’est pourquoi, nous essayons d’assurer l’accès à l’école (maternelle, primaire et secondaire) à tous les enfants des communautés dans lesquelles nous sommes présents. Nous offrons aussi l’opportunité de suivre une formation complémentaire ou des études supérieures.
Parfois avec nos propres écoles…
Avant de construire des écoles nous-mêmes, nous regardons d’abord s’il n’en existe pas dans les environs. Si nécessaire et souhaité par les autorités locales, nous investissons dans les projets existants. Nous consacrons ainsi beaucoup d’attention à la formation et au suivi des professeurs. Mais s’il n’y a pas d’écoles adaptées dans les environs de nos villages d’enfants, nous en construisons nous-mêmes. Les enfants de la communauté environnante y sont également les bienvenus. Ainsi, il n’y a pas que les enfants de nos villages qui ont accès à une bonne éducation, c’est toute la communauté qui profite de notre approche.
Avant de construire des écoles nous-mêmes, nous regardons d’abord s’il n’en existe pas dans les environs. Si nécessaire et souhaité par les autorités locales, nous investissons dans les projets existants. Nous consacrons ainsi beaucoup d’attention à la formation et au suivi des professeurs. Mais s’il n’y a pas d’écoles adaptées dans les environs de nos villages d’enfants, nous en construisons nous-mêmes. Les enfants de la communauté environnante y sont également les bienvenus. Ainsi, il n’y a pas que les enfants de nos villages qui ont accès à une bonne éducation, c’est toute la communauté qui profite de notre approche.
Principalement en Afrique et en Asie…
Au total, ce sont 222 écoles maternelles, 182 écoles primaires et secondaires et 100 écoles professionnelles qui sont gérées par SOS dans le monde, principalement en Asie et en Afrique. Ces écoles se trouvent généralement à proximité de l’un de nos villages d’enfants et sont ouvertes à tous. Plus de 153 000 enfants ont ainsi accès à un enseignement de qualité. Nous essayons de maintenir les frais scolaires au plus bas et offrons des bourses à ceux qui en ont le plus besoin.
Au total, ce sont 222 écoles maternelles, 182 écoles primaires et secondaires et 100 écoles professionnelles qui sont gérées par SOS dans le monde, principalement en Asie et en Afrique. Ces écoles se trouvent généralement à proximité de l’un de nos villages d’enfants et sont ouvertes à tous. Plus de 153 000 enfants ont ainsi accès à un enseignement de qualité. Nous essayons de maintenir les frais scolaires au plus bas et offrons des bourses à ceux qui en ont le plus besoin.
Au-delà des missions d'éducation et d'instruction, l'école joue un
rôle majeur
de prévention de l'exclusion sociale et de réduction des disparités.
Elle doit
être de qualité et favoriser l'équité. L'école est aussi la
principale institution
capable
de promouvoir la socialisation et la participation des enfants et des
familles
et de développer les valeurs de citoyenneté et de solidarité.
Dans
cette optique et en appui aux politiques nationales de renforcement de
la
qualité des apprentissages, l’UNICEF soutient la mise en œuvre
progressive
de l'année préparatoire pour les enfants de 5 ans, les
innovations pédagogiques
et la formation des maîtres aux nouvelles
orientations scolaires,
la révision des programmes et des manuels scolaires,
l'évaluation des apprentissages, l'information et la mobilisation des
parents.
Dans
le but de réduire les disparités et de garantir l'accès au système
scolaire
à tous les enfants tunisiens, l'UNICEF participe à des expériences
pilotes
novatrices déterminantes, parmi lesquelles figurent la mise en place
de
conseils d'établissement promouvant la participation des jeunes et des
parents
à la vie scolaire, la construction de salles polyvalentes pour améliorer
le
confort pédagogique des élèves dans les écoles démunies et le lancement
d'activités culturelles. L'UNICEF accompagne également la stratégie
nationale d'intégration scolaire des enfants porteurs de handicap,
en
soutenant des initiatives locales d'intégration.
3 تعليقات
Un intelligent recherche
ردحذفMerci
روعة😜
ردحذفqoi ne facil pas et tu analphabete
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